dimanche 13 décembre 2009

☼|Reflexion sur la com

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Les espaces délimités par la médiane ne demeurent pas impossibles à mélanger.

J’aime à croire que la communication est quelque chose de vital pour notre espèce mais je constate malheureusement qu’elle est surtout une barrière qui distingue les individus par leur approche subjective du langage.
L’importance relative apportée au sens des mots a de quoi faire peur.
Nous fonctionnons en échangeant des propos dont le vocabulaire, selon le contexte dans lequel il se trouve, et surtout selon la personnalité qui en use, n’a pas la même signification pour les uns et les autres.
Nous sommes sans cesse confrontés au problème de l’interprétation à attribuer selon la connaissance que nous avons des individus et de leur propre sensibilité au sujet abordé.
Avoir une bonne connaissance de soi ne peut qu’aider à ne pas éroner les informations que l’on reçoit de la part des autres.

Ce n’est que dans l’observation appliquée et dénuée de critique que l’on a le devoir de se mettre à la portée des interlocuteurs avec qui l’on est sensé échanger des informations dans le but de prospérer ensemble sur le chemin de l’évolution.


Besançon,
Mercredi 16 septembre 1998
Priscille F.

vendredi 13 novembre 2009

zyvala

Photobucket

kinenveu.org


en faisant un détour par la source claire


j'ai pensé me désaltérer d'une Bouteille alors je me suis souvenue de ce moment passé


jeudi 12 novembre 2009

mercredi 11 novembre 2009

l'Odyssée d'Homer étape 00

Pascal Pithois emmène Homer entendre le chant des cigales en Ardèche

mercredi 4 novembre 2009

J'accepte - Le contrat tacite des gens qui dorment

moiteur nacrée sur la nuit
soufle tiède sans bruit
jusque là endormi
joue qui sourit

lllll''''''''''''

mardi 3 novembre 2009

A tout rompre

Les jours mornes se doivent d’éclairer ceux où tout est clair ! La rugosité de ce qui nous entoure me semble appartenir à ces joyaux d’un autre temps…continuer à s’épencher plus vers l’essence que dans le détail.
Il est temps d’intégrer l’idée que l’éphémère ne cause que frustration pour certains, plaisir pour les autres.
Partons avec précaution vers les étendues tracées à travers un paysage vierge…
Les traversées obliques saignent, les limites sont à peine sondables. Je me vois passer à nouveau à proximité du puits dans le désert, sans pour autant ressentir le besoin de me désaltérer. La fracture temporelle est au bout de mes doigts, je m’échappe encore mais le temps glisse, de plus en plus vite. Plus tard ce sera plus tôt, il ne faut que prendre l’instant au vol et le suspendre. D’une dimension à l’autre il n’y a qu’un souffle.