dimanche 12 décembre 2010

Bertrand ~ WatS-Up ~ Sava

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mercredi 20 octobre 2010

« Priscille Froidevaux » ®Direction Artistique « Watchup TV™ »

Bertrand Cantat
Nous en sommes là, le temps s'ouvre et le défilé des heures se matérialise par ce cadavre exquis, je te passe la parole, à toi qui plane au dessus des lucioles éperdues et symptomatiques...
like a fire-fly whithout a light, call you up in the middle of the night, you were there like a blowtorch burning...I was a key that could use a little turning.
Et tu t'évades, en enjambées éperdues vers de nouvelles cimes qui morcèlent le peu d'espace émanant de la distance entre les êtres, les temps reculent, nous devont prendre les renes... pâle distance.
11 12 2005:
Aucun tremblement de terre ne nous a fait descendre dans les limbes de la croûte terrestre, je repars vers une montagne dont l'autre versant m'est inconnu!
En dessous de la montagne se trouve peut-être un gouffre dont les parois se parcourent et descendent vers des strates où d'autres époques subsistent encore.
La verdure de l'animosité ne cherche pas le lapin de prairie qui se cache parmi les essences du temps perdu à parcourir des étendues de feu lumineux en attendant le pire... je demeure absente de cette variation symptomatique, je n'attendrai pas de cette époque qu'elle me ramène au présent................ l'océan déverse son trop-plein d'âme sur les rochers lugubres en attendant une lumière plus douce et quelquefois plus perverse..... la guitare de Vincent se promène sur les dunes de l'inconscient par la porte des écueil synchronisés.
Par ailleurs les espaces déterminés par des limites intemporelles sont atteignables à volonté et en synchronisation.
l'algorythme nécessaire à toute opération préalable en matière de données transmissibles via les connexions trans-systèmiques n'auront cours que si les vecteurs sensoriels sont canalisés.
L'appareil est dirigé vers l'hyperespace et les comètes traversent les dimensions entrelacées. La molécule d'ADN ne divise plus ses transgressions en effluves éparses.
Et le temps passe vers des exultations transitoires, le pouvoir se limite à la projection des transumances, nous n'avons pas le temps de se bloquer sur des combinaisons usitées.
by Cill &

Andy Vérol, écrivain

label

©cillsurunfil ®Direction Artistique• Watchup.tv ~ Maqazine ~ ƒØµ ~ !


Priscille Froidevaux ®Direction Artistique•™



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mercredi 13 octobre 2010

Bienvenue sur mon réseau © Priscille Froidevaux Musique ™ DIRECTLINK ®







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mardi 2 février 2010

OSONS enfin OSER

Chuis limite friser les murs et raser les ponts!

Il se pourrait que les espaces éclatent, que les connections interstellaires s'emploient à changer l'aspect que prennent les choses!
Il me semble que l’eau potable devrait être gratuite et accessible à l’ensemble de la planète, que se déplacer, communiquer, manger, habiter aussi…

« -J’aime bien les shamallows !……. »
Que faire d’une réalité pareille, que dire de sa réelle signification ?
-C’est un produit de luxe, il faut le mériter par une marque de bonne volonté à agir sur les choses pour autrui…

Comment arriver à vivre dans l'harmonie et la richesse des échanges;
De quelles richesses parlons-nous?






Je vous perçois, avez-vous des choses à dire?

lundi 25 janvier 2010

u~'N-down



Les extatiques Paradis sont inaccessibles. Fendant l’air de mes bras souples, j’use des dons qui m’ont été faits sans me poser de questions. Au lendemain des écueils, je me relève doucement et espère en la longévité de ce nouvel état.
Il est des murs sans limite que je me contente de franchir sans y penser. Les falaises de marbre ne sont pas fendues et y prélever un bloc convient à l’entreprise que je me suis fixée : faire naître des formes me semble impossible mais je m’applique à la tâche avec impatience.
Les contours de la taille sont très flous, je m’évertue à faire la lumière sur le sujet de mon ambition.
Voir un couple qui reste dans la pudeur, la camisole chimique détruit mes inhibitions et me laisse sur ma faim. Ça ressemble à un manque d’amour alors que je me sens en délivrer tout ce que je peux.
Le bloc commence à prendre l’apparence fugace de mes espoirs. La lumière est toute proche, un petit coup bien placé et la fusion intérieure jaillit en gerbes et rais sinueux.
De la gangue fendue émerge une luminosité changeante, puis les différentes parties se séparent.
Un torse d’homme en sort, puis sa tête et ses bras tendus saisissent tendrement l’autre corps qui s’extirpe de la matière.
La lumière change, elle diffuse maintenant un halo autour du corps de la femme.
Les deux bras de l’homme l’enlacent, elle laisse tomber sa tête en arrière, comme pour regarder la matrice dont elle surgit maintenant. Elle en mémorise chaque profil avant de rejoindre celui qui maintenant approche la tête de la sienne.
Les deux corps se rapprochent, il maintient la taille, elle est soudée à celui qui se dresse sur ses jambes, elle noue les siennes autour de celles de l’homme. Il entreprend maintenant de la soulever et de glisser son bras gauche à la pliure des genoux de sa compagne tandis que le droit enlace son dos…


Il enjambe les débris de la gangue et regarde droit devant lui, son fardeau semble ne pas lui peser…
Puis il dépose la femme à terre, leurs mains se rejoignent, un sinueux chemin se dessine devant eux, ils l’ empruntent d’ un pas tranquille.


07 12 2000

dimanche 17 janvier 2010

Un matin comme un autre...la rue documente Terre


Cette capitale est cruelle, belle, bouillante, grouillante, puante, rutilante, épatante, amusante, planante.

Ses figures y éclatent au milieu d'une entité grise, celle du Paris qui fatigue, celui qui compte chaque seconde volée à un repos qui ne vient pas, alors, pour ceux qui se réveillent fatigués, qui n'ont pas le temps ou plus l'envie de se cultiver, qui comptent sur leur compte épargne, en se demandant si le boucher leur fera une petite fleur, en leur accordant un crédit, car ils doivent payer la note du mois, allumer la télé, et repartir bosser....












C'était le mois de juillet,
j'avais projeté depuis le mois de juin de faire un voyage en direction de Paris afin d'assister à un vernissage organisé par le collectif à la bibliothèque Avicenne Glassbox, Armand Behar : archéologie du futur. - Marie‐Astrid Meunier, Juillet 2009 - dans le cadre de l'exposition "Le complexe de Rittberger, ou la ronde infinie des obstinés" - Glassbox 09. ayant lieu le 19.

J'avais reçu les documents relatifs à leurs activités depuis quelque temps et la galerie d'images associée à leurs courriels aiguisaient ma soif d'en savoir plus sur eux...


Musiques Post-bourgeoise : signature de la main gauche (3/6)

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